Grâce aux solutions d’hyperconvergence et d’hypervision de Nutanix, La direction technique du pole TV de NRJ s’appuie sur son équipe interne de maintenance pour gérer l’infrastructure de production de ses 3 antennes.
SECTEUR
- Audiovisuel
CHALLENGES
- Moderniser l’IT
- Réduire les coûts
- Simplifier l'administration
SOLUTIONS
- Acropolis (AOS)
- Nutanix PRISM
- Nutanix AHV
BENEFICES
- Économie de sur les coûts de licence grâce à AHV
- Rationalisation des compétences nécessaires à la gestion de l'infrastructure
- Simplicité d’administration
- Meilleure réactivité de l'IT
Groupe de médias fondé en 1981 par Jean-Paul Baudecroux, NRJ Group compte aujourd’hui 4 radios et 3 télévisions. À la différence des autres groupes médias, sa division télévision a vécu une rapide numérisation de ses processus métiers historiques. « Nous avons entamé une transformation historique de notre infrastructure qui soutient les environnements de production de 3 antennes. Cette transformation avait commencé par une transition massive vers la virtualisation, avec VMware, ce qui n’était pas forcément simple étant donné que les solutions métiers que nous utilisions n’étaient pas forcément certifiées ou supportées avec ce genre de technologie », raconte Franck Vêtu, directeur projet et infrastructure de NRJ Group. Ayant fait le choix d’une infrastructure trois tiers, associant VSphere et ESX, la direction technique du pôle TV s’est par la suite rendu compte, en 2016, que celle-ci posait des problèmes de scalabilité, tant en termes de performances et de stockage, que de coûts.
Nous avons aujourd’hui une infrastructure qui peut se gérer entièrement depuis un point unique. Ceci nous rend bien plus efficaces dans la gestion quotidienne des besoins IT et des compétences nécessaires pour y répondre
– Franck Vêtu directeur projet et infrastructure de NRJ Group
LE PROJET
« Nous nous sommes logiquement tournés vers l’hyperconvergence, et à l’époque, Nutanix semblait être la solution la plus appropriée pour cette technologie », détaille Franck Vétu qui a donc rencontré les équipes de l’éditeur. L’objectif premier du projet était, d’une part, de simplifier la gestion de l’infrastructure tout en gagnant sur la souplesse, la scalabilité, les performances et les coûts. NRJ déploie donc une première infrastructure qui va rapidement être étendue pour répondre à la demande grandissante des besoins de production. Cette infrastructure, toujours basée sur VSphere pour la virtualisation, supporte ainsi 200 machines virtuelles et une dizaine de To en stockage. « Cette première partie nous a permis de simplifier la gestion de l’infrastructure avec une équipe réduite. Mais ce n’était qu’une première partie », déclare Franck Vétu.
SOLUTION
En juin 2019, le support des solutions VMware arrivait à son terme et se posait donc la question de renouveler, ou non, leur utilisation. « VSphere restait très chère à utiliser et nous avons été séduits par l’hyperviseur maison de Nutanix, AHV que nous suivions depuis sa genèse », résume Franck Vétu. Toujours accompagnée d’Infidis, la division télévision du groupe bascule ainsi l’intégralité de ses solutions métier sur AHV. « La migration s’est faite rapidement et sans problèmes. Les équipes d’Infidis nous ont montré comment effectuer les opérations et grâce au transfert de compétences, nous avons pu clôturer ce projet en autonomie », raconte le directeur. Ainsi, NRJ a pu pousser encore plus loin sa logique d’optimisation des coûts et de gestion unifié de l'environnement broadcast informatique. « Nous avons aujourd’hui une infrastructure qui peut se gérer entièrement depuis un point unique. Ceci nous rend bien plus efficaces dans la gestion quotidienne des besoins IT et des compétences nécessaires pour y répondre », conclut Franck Vétu.
ET APRES ?
Aujourd’hui, NRJ est entièrement satisfait de ses solutions Nutanix et compte étendre leurs utilisations à d’autres besoins. « Nous pensons également à redéfinir nos stratégies de sécurisation afin d'accroître nos performances en augmentant notre résilience en cas d’incident physique ou logique. », déclare Franck Vétu.